Comme prévu, le mouvement « Bloquons tout » s’est matérialisé par des centaines de blocages, de rassemblements plus ou moins spontanés, de débordements et de répressions policières. Pas de syndicat à la manœuvre, pas de leader identifié, mais une colère diffuse et diffusée sur les réseaux sociaux, qui s’est traduite en autant de micro-événements à travers le pays.