Les trucs qui marchent et rendent optimistes 

Même les indécrottables ravis de la crèche se font plus discrets en ce moment, tant les mauvaises nouvelles s’accumulent sur à peu près tous les fronts. Pour autant, l’Institut Supérieur de Communication et de la Publicité, ainsi que ses invités, comptent bien démontrer le rôle central de la communication, sous le prisme de l’optimisme, dans l’économie et la société. 

Nous savons que l’optimisme se cultive, s’entretient et transforme. Tout l’enjeu reste le passage à l’action et l’apport d’éléments concrets pour continuer d’y croire, comme on dit. C’est justement ce à quoi s’emploie la toute jeune Fédération française des trucs qui marchent. Association non partisane, celle-ci s’est réunie pour célébrer ses trophées, à la veille de l’ouverture du Salon des Maires et Collectivités territoriales. Un salon plus tendu que jamais cette année, avec des élus dont l’optimisme fond comme neige au soleil devant la difficulté de leurs tâches et leur manque de moyens. 

L’équipe de la Fédération française des trucs qui marchent a donc sillonné la France pour rencontrer élus de petites communes comme de grandes métropoles afin de mettre en lumière des initiatives locales qui marchent, et possiblement duplicables partout dans le pays. Six d’entre elles ont été récompensées lors de la soirée de remise de prix de la fédération. Cet événement, comme d’autres heureusement, offre ainsi des raisons d’être optimistes et de croire à l’intelligence collective.

Pour conclure et répondre à la question initiale, j’emprunterai à Gilles Finchelstein de la fondation Jean-Jaurès son expression  “c’est mieux que si c’était pire”. Et puis 2024 est bientôt terminée…